Jérémy Liron

Liron tript

J’imaginais des images lavées des corps qui tiennent le devant et s’agitent, et disent des histoires, pour ne laisser à voir en plein cadre que des arrières-plans rendus à la pleine visibilité.
Le fond du décor viendrait affirmer tout proche alors son silence immuable, son étendue.

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