« pleine lune de Février
La série des Open data est nourrie d’un intérêt persistant pour la ville, mais aussi plus largement de ma curiosité quotidienne, de la lecture des actualités. Le domaine des relations internationales comme les transformations des sociétés et des individus m’intéressent. Les concepts de transformation, évolution, heurt, confrontation, éclatement ou repliement en ressortent. Il en résulte un jeu de rencontres et d’ellipses ou de collusions d’images. Parallèlement à mon travail de peintre, j’ai une pratique de photographie. Celle-ci se concentre sur le paysage urbain en mutation ou plus largement l’empreinte de l’urbanisme dans le paysage. Cette pratique porte sur le réel qui contient également une part de violence. Open Data réunit des constructions fictives. Il ne s’agit pas de créations surréalistes ou visionnaires, même si leur aspect graphique se rapproche effectivement d’une « écriture photographique à facettes ». »